Breakdance…
Julien sera heureux de vous recevoir dans cet atelier, voir Horaires & Tarifs !
Style de danse au sol né dans les ghettos des États-Unis, dans les années 1970, caractérisé par des mouvements acrobatiques,
exécutés autour d'un point de repère, parfois sur un accompagnement de musique rap.
Le breakdance, également appelé break dance, break, breaking, breakdancing, b-boying — terme privilégié aux États-Unis est
un style de danse développé à New York dans les années 1970, caractérisé par ses mouvements de corps saccadés, son aspect
acrobatique et ses figures au sol. Un danseur de breakdance est appelé breakdancer, Bboy ou b-boy (pour un homme), Bgirl ou
b-girl (pour une femme).
Bien qu’on pense qu'il est né aux États-Unis, des archives montrent qu'une forme de breakdance était dansée en Afrique, plus
exactement à Kaduna, au Nigéria, en 1959
Il y a souvent un amalgame entre le breakdance et d'autres danses. Quand la presse s'y intéresse, au début des années 1980,
elle ignore qu'une véritable culture de la danse a toujours été omniprésente aux États-Unis ; elle y voit un phénomène spontané et labellise toutes les nouvelles danses
sous le terme unique de « breakdance ». Parmi ces danses assimilées au breakdance, il y a : le good foot, le popcorn, le funky chicken, le locking, le hustler, le popping
(avec le smurf2 ou l'electric boogaloo - créé par les Electric Boogaloos), le hip-hop « new style » (dit « new school » aux États-Unis[réf. nécessaire]), le krump (créé par
Tight Eyez et Big Mijo)... Ces danses étaient très populaires à l'époque des débuts du breakdance et certains b-boys l'incluent dans leur routine.
Le breakdance se pratique en solo ou en équipe, en général au milieu d'un cercle de personnes. Les danseurs dansent chacun à leur tour en faisant un « passage » qui se
déroule de la manière suivante :
Le danseur s'avance (ou parfois s'impose) au milieu du cercle et effectue des mouvements de jambe rapides qui rappellent ceux du boxeur Mohamed Ali ; cela s'appelle
toprock, ou également « pas de prépa » (puisque c'est seulement le début du passage), pendant lequel le danseur s'échauffe et réserve la place nécessaire pour danser
(remarque : un uprock, un salsa step, etc. peut aussi être effectué à la place du toprock) ;
Le danseur exécute des figures appelées footwork, ou passpass : pendant qu'il a ses mains au sol, ses jambes courent autour de son corps ;
Le danseur effectue des figures au sol (les phases mouvement circulaire) qui mettent en avant soit sa vitesse d'exécution, soit sa force physique, soit sa créativité à
enchaîner de manière originale plusieurs figures, cela s'appelle des phases ou des powermoves (en anglais).
En général, chaque danseur fait partie d'un crew, avec un nom d'équipe approprié. Issue des quartiers difficiles du Bronx, cette danse en a conservé un certain esprit de
gangs : ainsi, les crews se défient souvent les uns des autres (battle) ; les deux crews se font face et effectuent des passages successifs. Le vainqueur est choisi par le
public ou à l'applaudimètre, ce qui a engendré des discussions interminables en raison de la partialité de cette méthode. Très vite des défis officiels jugés par des
danseurs-arbitres ont été organisés, comme la compétition internationale Battle of the Year, qui se déroule dans différentes villes du monde tous les ans, ou le Red Bull
BC One qui réunit chaque année dans un pays différent des danseurs de différents groupes.
Le danseur s'avance (ou parfois s'impose) au milieu du cercle et effectue des mouvements de jambe rapides